« L’État a bien considéré ce mouvement comme un ennemi. Les soi-disant précautions prises pour éviter le saccage dans le centre ville avaient surtout pour fonction d’indiquer aux manifestants qu’ils étaient en territoire hostile. Le vandalisme dans le centre-ville aura pu donner un avant-goût aux “braves gens” de la violence que serait le saccage du bocage (par les engins de chantiers et les bétonneuses) ; à cette différence près que le saccage du bocage (paysage ô combien poétique) serait, lui, irrémédiable. »
25 février 2014,T. zad.nadir.org